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S.E.M IKILILOU DHOININE MADI, Vice Président de l’Union des Comores en visite en Chine, pour plus d’informations sur un médicament prodigieux de l’orient, l’artémisinine

éditeur: Guangzhou Ribao Temps:2017-02-27Vues:786 Taille de la police:【grande】【dans】【petit

S.E.M IKILILOU, Vice-Président de l'Union des Comores est arrivé, pour la première fois, en Chine, le 25 Avril 2009. Pendant son séjour qui a duré 9 jours, S.E.M IKILILOU a passé plus de la moitié de son temps à Guangdong. Pendant tout son séjour, Monsieur IKILILOU poursuivait sa route et son investigation sur l’industrie d’artémisinine.

Les raisons de la visite de S.E.M IKILILOU est de venir solliciter l’aide de l’Université de Médecine Chinoise de Guangzhou et du Professeur Li Guoqiao et de son équipe pour étendre un projet d’élimination rapide du paludisme, déjà mis en vigueur par le Professeur Li et son équipe dans l’île de Mohéli, dans les 2 autres îles de l’Union des Comores. Une combinaison à base d’artémisinine, un médicament prodigieux, a comme par magie éliminer le paludisme de l’île de Mohéli de l’archipel des Comores en une courte période d’un an, avec aucun décès dû au paludisme apparut dans l’île, pendant toute l’année, après le commencement du projet. Une grande nouvelle pour tous, ayant une rapidité pour le contrôle du paludisme dans l’histoire du paludisme à l’échelle mondial.  

Pour sa première visite en Chine, et déjà, S.E.M IKILILOU a une mission très importante, c’est espérer obtenir l’aide de la Chine et des Organisations Internationaux pour étendre le projet d’élimination rapide du paludisme déjà appliqué à Mohéli, dans les 2 autres îles de l’Union des Comores. ‘Ceci équivaut que, les hauts dirigeants étrangers invitent la médecine chinoise à sortir du pays’.
Il y a quelques décennies, les chinois ont inventés l’artémisinine, pis l’artémisinine a été appelé ‘médecine prodige de l’orient’. Cependant, pour de diverses raisons, il est bien regrettable que la Chine n’est pas le leader de l’industrie d’artémisinine sur le plan mondial, mais la base de cultivation des matières premières d’artémisinine pour les fabricants étrangers. 

La réussite de la lutte contre le paludisme à Mohéli nous permet de voir le dur chemin que l’industrie de l’artémisinine de la Chine a enduré. 

Le matin du 18 Avril, S.E.M IKILILOU, Vice Président et Ministre de la Santé de l’Union des Comores, pour la première fois en Chine, a visité l’Hôpital Provincial de Médecine Chinoise de Guangdong. Tout en faisant sa visite médicale, Son Excellence le Vice Président de l’Union des Comores était très content de visiter l’hôpital, et de voir les méthodes traditionnelles de traitement chinois en compagnie des personnels de santé de l’hôpital. Il était très ravi en aperçevant les médicaments en paquets distribuer aux malades au comptoir de l’hôpital et à la pharmacie, il a ramassé plusieurs morceaux de chaque types des réglisses et médicaments herbals secs, les a mis dans la bouche. Etant un étudiant en médecine et en pharmacologie, Monsieur IKILILOU était très intéressé aux médicaments chinois. 
      Demande d’assistance et d’aide de la Chine par le Vice Président de l’Union des Comores
La visite de S.E.M IKILILOU, Vice Président de l’Union des Comores en Chine, prend ses origines d’un projet de lutte contre le paludisme par l’équipe du Professeur Li Guoqiao, de l’Université de Médecine Traditionnelle Chinoise de Guangzhou, dans l’île de Mohéli, à l’Union des Comores. En Novembre 2007, l’équipe de lutte contre le paludisme de Guangzhou sont allés à Mohéli, un des îles de l’Union des Comores, une île fortement touché du paludisme, pour lancer un projet. Avant la mise en vigueur du projet, parmis les 25 villages de l’île de Mohéli, 10 villages avaient un taux de porteurs de parasite du paludisme de plus de 30%, et certains villages avaient un taux de 94% et 81% , le taux du paludisme à plasmodium falciparum était de 96,9%, et 10 à 20 décès dû au paludisme par an. Un an après la mise en vigueur du projet, le taux moyen des porteurs de parasite du paludisme est rapidement descendu de 23% à 0,33%~1,3%, une baisse de 95%, et aucun décès dû au paludisme pendant l’année. Les résultats du projet ont été rapide, le plus rapide dans l’histoire du paludisme à l’échelle mondiale, et a attiré la grande attention de l’Union des Comores et des pays étrangers. 
Le projet utilise une combinaison thérapeutique à base d’artémisinine (Artequick), inventé et recherché par Professeur Li Guoqiao et son équipe de recherches scientifiques. Le Professeur Li Guoqiao est un des célèbres professeurs de l’Université de Médecine Traditionnelle Chinoise de Guangzhou, Professeur expert en paludisme à l’échelle internationale, et aussi un des découvreurs ayant obtenus des mérites pour la découverte de l’artémisinine. 

En 2006, l’Artequick a obtenu le certificat national d’enregistrement de nouveau produits pharmaceutiques de type chimique. Artepharm Co.,Ltd, du Groupe Guangdong New South, compagnie général et fabricant industrielle, a obtenu son Autorisation de Fabrication de Produits Pharmaceutiques GMP par le Bureau National des Médicaments en Septembre 2008.
La Chine, à devenir le pays de fabrication de matières premières de l’artémisinine
Le 20 Avril, les dirigeants du Ministère de la Santé de la République Populaire de Chine a rencontré la délégation du Vice Président de l’Union des Comores, Monsieur IKILILOU DHOININE MADI. Son Excellence Monsieur IKILILOU, a proposé et sollicité l’aide du Gouvernement Chinois et des Organisations Internationales, pour étendre le projet de lutte contre le paludisme en utilisant la combinaison à base d’artémisinine dans les archipels des Comores. 
‘Ceci est la première fois que la Combinaison Thérapeutique à base d’Artémisinine de marque, de la Chine, est demandée par les leaders étrangers à utiliser dans leur pays pour traitement du paludisme’,exprime Li Guoqiao.
Zhang Jian, le rédacteur en chef du livre ‘Un Rapport en retard- Projet 523 et Documentaire de Recherche et Développement de l'Artémisinine’, et Directeur Adjoint du bureau national du projet 523, a initié dans son livre, une partie parlant de la découverte de l’artémisinine par les Chinois. Une session de meeting sur les travaux de recherche sur les médicaments pour traitement et prévention du paludisme a été tenu le 23 Mai 1967 par le Comité d’Etat pour la Science et la Technologie et le Département de Service de l’Armée de Libération du Peuple Chinois. Puis, le projet de recherche sur le traitement et la prévention du paludisme, codé 523, a été officiellement lancé. 

Le projet 523 a réunit plus de 60 Instituts de Recherches Scientifiques Nationaux, plus de 500 scientifiques, pour former une équipe de recherche. Seulement après 13 ans de pénible travail de recherche, que des séries d’antipaludiques ont été découvertes, et une nouvelle génération d’antipaludique a été détérré de la médecine traditionnelle chinoise: l’artémisinine et ses dérivés. L’artémisinine et ses dérivés sont des grand succès sur le plan recherche scientifique dans l’histoire mondial du paludisme.

Comme l’artémisinine a un excellent effet contre le paludisme, cette grande découverte scientifique de niveau international a plutôt stupéfait le monde. Toutefois, comme il n’y avait pas de conditions matériels et logiciels pour la Protection de Propriété Intellectuelle, et manque d’expériences du côté protection des résultats de recherches scientifiques, l’artémisinine, découverte par la Chine n’avait pas formulé de demande de Brevet de Protection, et le résultat de la recherche chinoise était ouverte et est tombé entre les mains des chercheurs étrangers. Dans les années 80, lorsque les chercheurs chinois s’est réjouit pour pouvoir promouvoir une coopération pour le développement industriel de l’artémisinine avec l’étranger, seulement ils ont constaté que les pays étrangers avaient déjà entrepris des études sur l'artémisinine.

 Occupe une fraction du marché international

Ensuite, les Occidentaux, ayant un grand avantage en technologie et industrie, était rapidement devenu les leader sur le plan chaîne industrielle de l’artémisinine avec des produits haut de games, tandis que la Chine devenait petit à petit un pays de fabrication des matières premières de l’artémisinine.

En 2000, le Directeur Adjoint du Bureau National de l’Administration de Médecine Chinoise, LI Zhenji, pendant un interview, a mentionné la situation de développement industrielle de l’artémisinine de l’époque, en Chine, ‘les médicaments à base d’artémisinine sont les phares des antipaludiques’, a-t-il avancé. ‘Cependant, pour de diverses raisons, ceci fait une décennie que notre pays vend des antipaludiques à base d’artémisinine, malheureusement, même jusqu’à nos jours, la quantité d’exportation annuel d’antipaludiques n’atteint pas 7 million de dollar, le chiffre mondial de vente annuelle d’antipaludiques est de 13 à 14 milliard de dollar, et l’exportation de la chine ne représente que de 0,5%. Nous devons dire que ceci est très dommage et un grand regret’.

Après le développement de la Chine de ces dernières années, seulement l’industrie de fabrication d’artémisinine de la Chine a fait un progrès. Cependant, en dépit de cela, les efforts ne sont pas encore assez et est restreint par des facteurs humains. Selon les données publiés par le Chambre de Commerce du Bureau d’Importation et Exportation des Produits Pharmaceutiques Chinois, de Janvier à Septembre 2007, calcul basé sur le volume d’exportation, les statistiques des ports nationaux montrent que, le volume d’exportation totale d’artémisinine du pays pendant les trois premiers trimestre est de 40 million de dollar. Ceci ne représente qu’une fraction du volume d’achat total d’antipaludiques à l’échelle mondial.

Les données montrent que, 90% de la cultivation et extraction mondial de l’artémisinine se fait en Chine. Les Sociétes Chinois fournit directement les demandes internationales sur les antipaludiques à base d’artémisinine, la plupart sont des fournisseurs de matières premières aux multi-nationales de produits pharmaceutiques.

De nos jours, le marché international des médicaments à base d'artémisinine est contrôlé par un certain nombre de grandes sociétés étrangères. Il est reporté que Novartis a toujours été le plus grand fournisseur de produits pharmaceutiques à base d'artémisinine, représentant 80% de la quantité d’achats des médicaments à base d’artémisinine par l'OMS. Les achats entre les organisations internationales et les pays africains sur le marché des produits pharmaceutiques à base d’artémisinine représentent plus de 70% du marché public, les 30% restant représente ainsi la portion du marché entre les organisations non-internationales et le gouvernement.

L'artémisinine a été découverte pour plus 20 ans maintenant, et l'artésunate et l'artéméther sont utilisés comme antipaludique pour plus de dix ans. Toutefois, pour de diverses raisons, les produits pharmaceutiques à base d'artémisininene sont pas encore utilisés dans les zones endémique palustre. Professeur Li Guoqiao estime que la raison la plus proéminante est que le cours de traitement est trop long. Avec un long cours de traitement, non seulement il est difficile pour le patient de persévérer, mais également, comme la dose est augmenté, ceci augmente le fardeau du patient. La deuxième raison est que, la chaîne de circulation commerciale est longue; ceci est aussi le résultat de la stimulation de profits. Plus la chaîne est longue, les coûts d'exploitation augmentent; et comme chaque segmentation prend de bénéfices à chaque étape, le prix à laquelle les patients achetent les médicaments reviennent à très chers, entrainant ainsi la majorité des paludéens n’ayant pas les moyens, ni se permettrent d'acheter les médicaments thérapeutiques à base d'artémisinine pour traiter leur paludisme.

Professeur Li Guoqiao estime qu’il est primordial de résoudre les deux problèmes ci-dessus. Il a aussi exprimé qu’une approche faisable est le résultat de recherche de nouvelles combinaisons. Et pour obtenir un traitement à base de combinaison thérapeutique idéal, il faut réduire le cours de traitement à 2 à 3 jours, et faire une combinaison thérapeutique efficace et à faible coût. Leur objectif est de fournir des antipaludiques chinois, combinaison thérapeutique à base d’artémisinine, efficace et à bon marché aux paludéens du monde entier. Cette dernière est la force motrice de ses collègues et lui même dans les études non-stop des générations de combinaison d’artémisinine.

Difficultés à l’échelle mondiale
       Il faut tout d’abord, pour les médicaments à base d’artémisinine de la Chine, traverser un seuil important, pour pouvoir entrer dans le marché international: obtenir l’attestation de pré-certification de médicaments de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Ceci est non seulement une condition préalable, de l’OMS, pour l'achat de médicaments, mais aussi une condition préalable pour un certain nombre des pays d’Afrique pour les marchés publics. Et il est très difficile pour les combinaisons thérapeutiques à base d’artémisinine des Chinois, ainsi que les autres médicaments chinois, d'obtenir l’attestation de pré-certification de médicaments de l’ OMS.

"Un grand nombre de méthodes et techniques de la médecine chinoise est reconnu dans le monde, comme par exemple l’acupuncture. Mais, il reste encore un long chemin à parcourir pour la médecine chinoise pour pouvoir s’engager à l’échelle mondiale. Il est aussi nécessaire, pour la médecine chinoise, de poursuivre les procédures relevants, et présenter les rapports et documents nécessaire pour être reconnu dans le monde. Et le point le plus important, est de soumettre des dossiers d’analyse de composition chimique. Par exemple, quelle est la composition chimique du Banlangen (Radix Isatidis). De nombreux médicaments chinois sont des combinaisons. Et il est impossible de poursuivre des tests d’analyse des compositions chimiques sans matériels d’analyse sophistiqués" a déclaré un fonctionnaire du Département de Santé de la Province de Guangdong.En 2004, l’équipe du Professeur Li Guoqiao a mis au point la 3ème génération de combinaison à base d’artémisinine, et a déjà envoyé une demande d’attestation de pré-certification de médicaments à l’OMS, cependant, jusqu’à lors, n’a pas encore été adopté. De nos jours, le Groupe New South Artepharm, produisant l’Artequick, est également en train de s’inscrire pour l’obtention d’attestation de pré-certification à l’OMS.

Deuxièmement, pour qu’un médicament ou une méthode de traitement soit reconnu à l’échelle internationale, il est nécessaire de publier des thèses dans les magazines leaders internationales. Malheureusement, ce chemin est loin d’être un jeu d’enfant. Le Professeur Li dit ‘il y a 2 ans et demi de cela, j’ai envoyé mon article sur la méthode de lutte contre le paludisme fait au Cambodge à une revue de maladies transmissibles des Etats-Unis d’Amérique, mais ils avaient refusé, et m’ont dit d’envoyer à une autre revue. Après cela, nous avons fait une modification de l’article et re-envoyer. Mais on ne sait pas du tout quand est-ce-qu’ils vont publiés’. 

"Vous auriez beau leur dire que c'est un médicament traditionnelle chinoise, a déjà obtenu l’attestation de qualification de la Chine, beaucoup de Chinois ont déjà utilisé le médicament pendant de nombreuses années, le médicament est efficace. Mais, ils ne sont pas d'accord, ils n’acceptent pas. Ceci est une sorte de conflit culturel. Autre chose, les autres ont établis les règles du jeu, vous devez respecter." a déclaré Professeur Song Jianping, Directeur Adjoint du Centre de Recherche sur l’Artémisinine de l’Université de Médecine Traditionelle Chinoise de Guangzhou.

IKILILOU: Nous sommes sous-pression, mais on le fait quand même.

Interview avec S.E.M le Vice Président de l’Union des Comores
Guangzhou Ribao: Que pensez-vous de la thérapie traditionnelle chinoise tels que l’acupuncture, le cupping thérapie?
       Le reporter de profité de l’occasion de la visite de 
S.E.M le Vice Président de l’Union des Comores en Chine, pour avoir un brève interview exclusive. 
      IKILILOU: Nous avons déjà vu ses méthodes dans notre pays, mais pas aussi avancé.
      Guangzhou Ribao: Vous avez visité et vu les méthodes de traitement traditionnelle par les médicaments chinois, qu’en pensez-vous? 
      IKILILOU: J’ai déjà entendu parlé de ces thérapies traditionnelles, mais je n’ai jamais expérimenté moi même. C’est tout un ensemble de thérapie, des méthodes de traitement naturelle.
      IKILILOU: Ce projet dure depuis un an maintenant au comores. Je comprends, et je suis déjà aller sur le terrain. Au début, nous avons fait des enquêtes préliminaires générales, puis après nous avons fait des enquêtes plus déterminés sur certains villages de Mohéli. Nous avons bien enquêté, dans le but de savoir si un traitement de masse était faisable ou pas. Ceci fait un bout de temps que le projet a été lançé, nous avons découvert que le niveau d’épidémie a fortement baissé, le nombre des paludéens ont amplement diminués. Pour l’instant, dans l’ensemble, il n’y a pas de paludisme à Mohéli. Nous espérons beaucoup pouvoir collaborer avec l’équipe du Professeur Li Guoqiao, pour généraliser, étendre le projet dans les 2 autres îles des Comores.
      Guangzhou Ribao: 
Que pensez-vous du travail de l’équipe médical du Professeur Li Guoqiao sur la lutte contre le paludisme à Mohéli?

      Guangzhou Ribao: Que pensez-vous, personnellement, de la colloboration du projet de lutte contre le paludisme avec les chinois?
       IKILILOU: Nous espérons beaucoup étendre le projet dans les 2 autres îles, et nous espérons encore plus que l’équipe chinoise soit sur le terrain pour coordonner le projet, c’est-à-dire avec la participation des chinois.
       IKILILOU: Nous savons que nous ferrions face à des pressions, mais nous l’avons quand même fait. Nous l’avons fait malgré les tensions et les pressions au début même du lancement du projet. Je pense que nous n’aurions pas plus de pressions qu’au début du lancement du projet pour l’étendre dans les 2 autres îles. Nous avons réussi à Mohéli, ça été efficace, donc ce ne serait pas difficile de le promouvoir dans les 2 autres îles. Nous sensibiliserons toute la population. Nous avons aussi informé les organisations internationales, tel l’OMS, du résultat du projet à Mohéli. Le Représentant de l’OMS auprès de l’Union des Comores est allé sur le terrain voir par lui même, enquêté et évalué, et a reconnu les résultats obtenus. Cependant, il est vrai que nous avons besoin de maintenir et consolider les résultats.
       Guangzhou Ribao: Quelle est votre impression sur Guangzhou?

IKILILOU: Nous avons reçu un chaleureux acceuil et nous avons été très bien reçu. Guangzhou est une ville traditionnelle et moderne.


 

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